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éditions originel-accarias

2 décembre 2008

ARIANE BUISSETLES RELIGIONS FACE AUX FEMMES




ARIANE BUISSET

LES RELIGIONS FACE AUX FEMMES

        S’ouvrir à une vision nouvelle
       de l’humain et du spirituel


Préface de Frédéric Lenoir
Postface de Bernard Besret



Quelle place le judaïsme, le christianisme, l’islam, l’hindouisme, le bouddhisme, le confucianisme et le taoïsme, ont-ils réservée aux femmes ?
Comment les ont-ils représentées à travers leurs mythes, dogmes et croyances? Comment les femmes ordinaires et la société en ont-elles été affectées ? Comment les grandes mystiques se sont-elles adaptées au sein de religions définies par les hommes pour les hommes ?
Cette étude, la première de son genre par son ampleur, est constituée de chapitres indépendants pouvant être lus séparément. Elle comporte deux perspectives.
La première présente les religions et leurs textes sacrés une par une. Elle montre que, face aux femmes, Jésus, le Bouddha ou Mahomet ont souvent surpris leurs contemporains.
La seconde expose les dernières découvertes de l’anthropologie, de la sociologie, de la génétique, de la psychologie et de la linguistique, concernant la construction du masculin et du féminin.
Ce livre pose de nombreuses questions de manière neuve. Quels sont, par exemple, les rapports entre les croyances et la science ? Entre la nature et la culture ? Entre les religions établies et la spiritualité ?
Comment les grands maîtres des deux sexes vivent-ils ce qu’on appelle les noces mystiques, l’éveil ou la libération ? La transcendance reste-t-elle pour eux un dieu sexué (comme Dieu le Père ou comme la Grande Mère) ? Les limites sexuelles sont-elles infranchissables ?
Pour l’auteure de ce livre, une seule chose est sûre : L’évolution harmonieuse des rapports entre les sexes ne pourra pas s’appuyer sur les institutions religieuses. Elle devra s’inspirer de l’expérience spirituelle, car c’est la seule qui ouvre à cette dimension d’amour et d’intelligence qu’on ne saurait représenter, et qui permette aux deux sexes de dépasser les conventions du « féminin » et du « masculin », pour devenir des êtres humains à part entière et témoigner du divin.

                    Née en1952, Ariane Buisset a étudié l’anglais à Paris III, le chinois, le japonais et les religions orientales à l’école des langues orientales de Paris Dauphine. De nombreux voyages l’ont menée à rencontrer des maîtres bouddhistes zen, bouddhistes tibétains, hindous, et taoïstes. Elle a publié plusieurs livres dont -« La Réconciliation, essai sur l’unité cachée des religions » ed. Adyar, « Le dernier tableau de Wang-Wei » ed. A. Michel, -« Le maître de la laque » ed. Le Relié, etc.

« J’ai découvert sous un jour nouveau la complexité des injustices instituées par les religions. »
B. Besret, ancien prieur de l’abbaye de Boquen.

« Le livre d’Ariane Buisset n’est pas simplement un livre de plus sur les religions. Son originalité est de montrer clairement un paradoxe... : la femme est à la fois “la grande oubliée” et “le cœur” des religions. » F. Lenoir, directeur du Monde des religions.
                416 pages
23 euros

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11 avril 2008

N'ayons pas peur de mourir

Nicole MONTINERI N’AYONS PAS PEUR DE MOURIR Ce livre est le témoignage d’une rencontre avec la mort. L’auteur a pu voir – lors d’une grave maladie – dans une attention extrême et une acceptation totale qui évacuait toute peur, ce qu’enseignent tous les sages : derrière les apparences de l’univers, se trouve la réalité d’une Conscience unique. Nicole Montineri nous parle d’un vécu profond, bien réel où la conscience change de nature, se plaçant à un niveau élevé de réceptivité et de lucidité. Ici, pas de visions d’anges ou de cités célestes ; pas de projection, ni d’images. La lumière n’était pas à l’extérieur d’elle, mais rayonnement de sa conscience. Dans un abandon total de soi, l’auteur vivait un présent hors du temps où « la pure conscience (qui est pure énergie, vacuité créatrice) restait seule, rayonnante ». Demeurer dans cette ouverture, c’est rejoindre l’essence de notre être où n’existe aucune dualité, aucune séparation, mais liberté et amour. Seule cette réalisation de l’unité essentielle nous permet de sortir de notre monde limité et chaotique. Enfermés dans les préoccupations vaines du moi, l’esprit sans cesse affairé, nous ne savons pas regarder la vie en profondeur. Or, la mort peut surgir à tout moment. Mal préparés, nous vivons alors avec beaucoup d’angoisse l’instant de notre disparition. Cependant, la mort peut être l’expérience intérieure la plus profonde qu’il nous soit donné de connaître, si nous nous sommes préparés à ce retour à la source. Cette préparation nécessite une pratique. Il s’agit, au fil de notre existence de nous éveiller à ce que nous sommes, d’avoir une conscience claire de nos comportements, de chacune de nos pensées, de renoncer à nos illusions, d’abandonner cet effort perpétuel de l’ego pour se rassurer. Il nous faut – d’une certaine façon – nous quitter, cesser d’accumuler (tout en vivant pleinement ce que nous propose l’existence), nous dépouiller et nous habituer au silence. L’auteur décrit ainsi un parcours, invite à une intensité tout en précisant que cette quête nécessaire sera un jour abandonnée, car la vérité ne peut surgir de la volonté mais du seul lâcher prise où le chercheur s’efface peu à peu. Il y a un lien mystérieux qui unit la vie et la mort. Comprendre ce qu’est véritablement la mort, c’est comprendre le sens de la vie. Pour N. Montineri tout est vu désormais « comme se mouvant au sein de la globalité de la vie, par la seule conscience de l’unité derrière les formes…dans une joie constante sans objet ». 128 pages – 15,50 euros Editions Accarias -L’Originel 5 passage de la Folie-Regnault 75011 Paris e-mail : originel-accarias@club-internet.fr www.originel-accarias.com
13 mars 2008

nouveautés mars 2008

nouveautés MARS 2008

LeSouffle

Docteur JEAN BRÉANT


LE SOUFFLE DE L’UN

QUI EST FÉLICITÉ


COLLECTION ADVAÏTA



La respiration est primordiale. Ce livre en témoigne.

Le texte de la Prashna Upanishad ( complété ici par d’autres Upanishad ) indique les lignes directrices qui ont conduit l’auteur à l’expérience de l’unité. Celui-ci suggère également un parallèle avec Claude Bernard, « père de la physiologie moderne ». À la recherche des conditions qui sont à l’origine de la vie , Claude Bernard présente des facteurs déjà exposés dans cette Upanishad. Celle-ci justifie et développe, selon l’Advaïta Védanta, une méthode d’épanouissement physique et psychique universellement expérimenté tant en pratique médicale, qu’en matière de quête spirituelle dans la voie de l’Unité.

La Prashna Up. expose une physio-psychologie globale : le souffle est la fonction première, essentielle et ultime de l’être vivant, « le souffle est la divinité ».

Ce souffle (prana) nous assure l’énergie « Une ». Souffle, Énergie, Vitalité ne font qu’un. Il y a identification entre notre respiration et le « Souffle-Énergie » cosmique.

Le souffle conscient induit l’énergie unique qui anime tout notre être, en recueillant et concentrant celle-ci dans l’Unité intérieure. Il nous insuffle notre « élan vital » et nous indique ainsi la source de la cohérence dynamique de notre être qui reste Un depuis son fondement somatique le plus charnel jusqu’à ses efflorescences les plus éthérées.

L’universalité de la Prashna Upanishad initie les techniques de méditation, de relaxation, de yoga, de sophrologie…

Nous voyons ici (à travers de nombreuses citations) que non seulement les Upanishad, mais les sages de l’ancienne Égypte, Héraclite, les moines hésychastes chrétiens, les soufis…affirment tous la prédominance immanente du Souffle vécu en conscience. Au delà d’une respiration limitée, il s’agit de ressentir que c’est la Vie universelle qui respire en nous.

Le Souffle est dit « guide radieux » car l’abandon du mental à la pénétration du Souffle-Énergie conduit à la conscience lumineuse de l’Unité.



128 pages - 15,50 €




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